Il est écrit dans le Choul’hane Aroukh (Ora’h ‘Hayim 101§ 1) : « celui qui prie doit se concentrer quand il prononce toutes les bénédictions [de la Amida], mais s’il ne réussit pas à le faire, il doit au moins réussir à prononcer la bénédiction des patriarches avec intention ».
La concentration ou «Kavana », implique avant tout une compréhension littérale du texte de la Amida. (Michna Broura) Les mots de la Téfila ne sont pas compliqués, mais sans attention, réflexion et préparation, on risque de ne pas savoir ce que l’on prononce.
Nous devons nous renforcer dans ce domaine, car la Téfila n’est pas juste un travail mécanique de la bouche mais un travail du cœur (Taânit 2a).
La Téfila un test pour savoir à quel niveau on se situe réellement avec Hachem, si nous prions avec concentration c’est que notre cœur est lié à Lui.
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